Les fleurs de l'éternité.
Une chanson hommage d'Harlem au petit-prince de la chanson, Gregory Lemarchal.
Dors,
Et surtout là-haut réveille-toi,
Vole,
Dis toi que d'ici nous on te voit,
Dis toi que d'ici nous on te voit,
Cette image que tu as laissée,
N'est pas celle d'un homme qui n'guérit pas,
N'est pas celle d'un homme qui n'guérit pas,
L'histoire ne fait que commencer,
Pour toi on continue le combat,
Mmmmm…
Pour toi on continue le combat,
Mmmmm…
Mais nan, Mais nan, Mais nan, Mais nan,
Nan,
On n's'enfermera pas dans le noir,
On n's'enfermera pas dans le noir,
Fort,
Tu l'as été donc on te le doit,
Tu l'as été donc on te le doit,
Honte à ceux qui n'ont pas cessé,
De te nuire et salir les espoirs,
Jamais les bras tu n'as baissé,
On t'entend nous murmurer tout bas,
On t'entend nous murmurer tout bas,
Ca va, j'vous jure, je me sens bien.
Sous l'amour que tu as semé,
Poussent « les fleurs de l'éternité »,
Les hommes s'en vont et viennent,
Sans vraies raisons mais toi,
Tu n'es pas venu pour rien,
Passant ton temps à chérir les autres,
Aujourd'hui tu es,
Toujours parmi nous.
Poussent « les fleurs de l'éternité »,
Les hommes s'en vont et viennent,
Sans vraies raisons mais toi,
Tu n'es pas venu pour rien,
Passant ton temps à chérir les autres,
Aujourd'hui tu es,
Toujours parmi nous.
Chose promise, Chose dure,
J'te l'avais dit un jour,
Je t'écrirai un truc,
Mais tu nous as pris de court,
On est tous sur l'cul depuis le 30,
Avec un peu d'retard,
Maintenant je le chante,
Je t'aime poto,
Avec un peu d'retard,
Maintenant je le chante,
Je t'aime poto,
J'te l'ai d'jà dit par texto,
Une star qu'à demie,
Car t'as gardé le cœur chaud,
Claro,
Karine t'envoie un « Te Quiero »,Une star qu'à demie,
Car t'as gardé le cœur chaud,
Claro,
Et ton public me somme de te dire encore Bravo,
Distributeur de bonheur,
Je ne retiens de toi que le sacré déconneur gros,
Les meilleurs partent trop tôt,
De ton rire se propage un éternel écho,
C'est la sécheresse dans les yeux de ceux qui t'aiment,
J'ai pleuré toutes les larmes de mon corps pour qu'tu reviennes,
De ton rire se propage un éternel écho,
C'est la sécheresse dans les yeux de ceux qui t'aiment,
J'ai pleuré toutes les larmes de mon corps pour qu'tu reviennes,
Mais t'es parti,
Sans pleurs et sans bruit,
Sur un par terre de fleurs blanches à Chambéry.
Sans pleurs et sans bruit,
Sur un par terre de fleurs blanches à Chambéry.
Sous l'amour que tu as semé,
Poussent « les fleurs de l'éternité »,
Les hommes s'en vont et viennent,
Sans vraies raisons mais toi,
Tu n'es pas venu pour rien,
Passant ton temps à chérir les autres,
Tu n'es pas venu pour rien,
Passant ton temps à chérir les autres,
Aujourd'hui on t'aime,
Toujours par milliers.